Friday 28 June 2013

I WISH... - JE SOUHAITE...

The life of most youths I work with is spent regretting that they are Africans or expressing their bitterness at the insensitivity of our leaders. They wish the could change their nationalities to make their dreams come true and have a better life. These are all genuine feelings but I find that these stall them from working with what they have and to maximize their potentials. Even when people come home after a visit to more civilized societies, their thoughts are not in replicating what they have seen and experienced; they often spend all their time figuring out how they can escape for good. There is no land that is adverse to development, so rather than wish, we could begin to think of ways to make things work. Africa depends on her youths. Thankfully, they are beginning to get the gist, we can do it if we really want. When leadership opportunities open up, we must be mentally prepared to do what we think is best for the development of our communities; one person,one community at a time.
When you don't know the truth, it is easy to believe a lie. We tell them it has been done and it can be done.
Lorsque vous ne connaissez pas la vérité, il est facile de croire un mensonge. Nous leur disons qu'il a été fait et il peut être fait.


La vie de la plupart des jeunes avec qui je travaille est passé en regrettant qu'ils sont Africains ou d'exprimer leur amertume à l'insensibilité de nos dirigeants. Ils souhaitent qu'ils puissent changer leurs nationalités pour pourvoir réaliser leurs rêves et avoir une vie meilleure. Ce sont tous des sentiments authentiques mais je trouve que ce décrochage entre eux de travailler avec ce qu'ils ont et à maximiser leur potentiel. Même quand les gens rentrent à la maison après une visite aux sociétés plus civilisées, leurs pensées ne sont pas à reproduire ce qu'ils ont vu et vécu, ils passent souvent leur temps à comprendre comment ils peuvent s'échapper pour de bon. Il n'y a pas de terre qui est défavorable au développement, donc plutôt que de souhait, nous pourrions commencer à réfléchir aux moyens de faire fonctionner les choses. L'Afrique dépend de ses jeunes. Heureusement, ils commencent à comprendre l'essentiel, nous pouvons le faire si nous voulons vraiment. Lorsque des opportunités de leadership s'ouvrent, nous devons être préparés mentalement à faire ce que nous pensons être le mieux pour le développement de nos communautés, une personne, une communauté à la fois.

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