Even in the more developed societies, we have the same spectrum of individuals. The only difference is that systems have been developed to ease the job of those who are passionate to be able to manage the excesses and laziness of those who are not. If that structure ever fails, the same selfish patterns that are prevalent in developing societies will be seen. When the are no systems the human instinct to survive is activated and will do anything within its power to survive without thinking of the consequences on others.
However, when those who understand that attention to the collective good is beneficial to everyone create a culture against all opposition. Systems are created and start to run smoothly. This culture that creates the systems also help to create more individuals who believe in the collective good. Opposition to the collective good is found in every society because some refuse to give up their selfish desires. But with a strong system in place, it checks the excesses of such individuals. Systems are what define the strength of a society and people are the initiators of such systems.
Immediately a society has enough selfless and passionate people to breakthrough that opposition, the way is open for sustainable development to take place. I do not write to indicte anyone but to encourage us to examine ourselves to know which side of the divide we are on. When we do not have an understanding how things work, we are either constantly going to be complaining and blaming others or we will be too frustrated to think straight. We need to understand the situation if we have any intentions of contributing our quota. Do have a beautiful weekend !
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Les rouages du développement sociétal ne sont pas aussi simples que le noir et le blanc ; ils comportent de nombreuses subtilités. Les facteurs et les différences environnementaux déterminent dans une large mesure la façon dont les individus réagissent aux problèmes qui les entourent. Il n’existe pas de modèles parfaits de solutions. Ce dont chaque société a besoin, ce sont simplement des gens passionnés qui s’engagent à faire tout ce qu’il faut pour que les choses fonctionnent aussi bien qu’elles le devraient.
Même dans les sociétés les plus développées, nous avons le même éventail d’individus. La seule différence est que des systèmes ont été développés pour faciliter le travail de ceux qui sont passionnés et pouvoir gérer les excès et la paresse de ceux qui ne le sont pas. Si jamais cette structure échoue, les mêmes schémas égoïstes qui prévalent dans les sociétés en développement apparaîtront. En l’absence de systèmes, l’instinct humain de survie est activé et fera tout ce qui est en son pouvoir pour survivre sans penser aux conséquences sur les autres.
Cependant, lorsque ceux qui comprennent que l’attention portée au bien collectif est bénéfique à tous, créent une culture contre toute opposition. Les systèmes sont créés et commencent à fonctionner correctement. Cette culture qui crée les systèmes contribue également à créer davantage d’individus qui croient au bien collectif. L’opposition au bien collectif se retrouve dans toutes les sociétés parce que certains refusent d’abandonner leurs désirs égoïstes. Mais avec un système solide en place, il permet de contrôler les excès de ces individus. Les systèmes définissent la force d’une société et les individus sont les initiateurs de ces systèmes.
Dès qu’une société compte suffisamment de personnes altruistes et passionnées pour vaincre cette opposition, la voie est ouverte au développement durable. Je n’écris pas pour accuser qui que ce soit mais pour nous encourager à nous examiner nous-mêmes pour savoir de quel côté du fossé nous nous trouvons. Lorsque nous ne comprenons pas comment les choses fonctionnent, soit nous allons constamment nous plaindre et blâmer les autres, soit nous serons trop frustrés pour penser clairement. Nous devons comprendre la situation si nous avons l’intention de contribuer à notre quota. Passez un beau week-end !
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