Changement de
mentalités sur le continent - Lansana Gagny Sakho
Dans la plupart
des centres urbains du continent africain, ce sont les hommes qui jouent aux
nurses ou se baladent de cabaret en cabaret, abandonnant les champs aux femmes
et aux enfants, pour après revendiquer le contenu du grenier.
L’amour du
travail, le goût de l’entreprenariat, la culture du sens de la responsabilité,
la primauté de l’intérêt général, la construction du bien-être individuel et
collectif sont autant de valeurs qui nous manquent.
Nous sommes
malades de notre ‘tradition’ empreinte souvent de sciences occultes qui est aux
antipodes des progrès scientifiques si elle ne contribue pas à freiner leurs
évolutions et même à les tuer. Cette tradition a pour conséquence néfastes de
fossiliser les pratiques anciennes et de scléroser les capacités de créativité
des populations face aux défis quotidiens de la survie et de l’adaptation au
monde moderne.
Nous trouvons
commode et confortable d’expliquer le grand retard de l’Afrique par les causes
historiques, la traite négrière, la colonisation, le néocolonialisme, et des
facteurs exogènes de l’économie mondialisant, la détérioration des termes de
l'échange etc.… il n’en est absolument rien 😡😡😡
Nous ne nous en
sortions jamais sans un changement profond des mentalités qui doit être engagé
à travers des stratégies de développement communautaire à l’échelle des
nations. Passe une belle semaine! Continiuons ces conversations sur Facebook/justinakesagbosa, LinkedIn/justinakesagbosa, Instagram@Jpmy_Africa, Twitter@josephsplaceng
Change of mentality on the continent - Lansana Gagny Sakho
In most urban centers on the African continent, it is men who play nursery or cabaret cabaret, abandoning the fields to women and children, after claiming the contents of the attic.
The love of work, the taste for entrepreneurship, the culture of the sense of responsibility, the primacy of the general interest, the construction of individual and collective well-being are all values we miss.
We are held by our 'tradition', often marked by occult sciences, which is the antithesis of scientific progress that does help to slow down its evolution and even kill it. This tradition has the harmful consequence of fossilizing old practices and freezing the capacity of people's creativity to face the daily challenges of survival and adaptation to the modern world.
We find it convenient and comfortable to explain Africa's great backwardness by historical causes, the slave trade, colonization, neocolonialism, and exogenous factors of the globalizing economy, the deterioration of the terms of trade, and so on. ... absolutely nothing to do with these 😡😡😡
We will never escape this position without a profound change of mindset that must be developed through community development strategies at the national level. Do have a beautiful week! Let's continue these conversations on Facebook/justinakesagbosa, LinkedIn/justinakesagbosa, Instagram@Jpmy_Africa, Twitter@josephsplaceng
We often hear people say "oh! I thought about it before" immediately they see something someone else has done. Many times, they make it seem as if is not a big deal. What most fail to understand is that it takes a lot of courage to move from thinking to doing. The courage to undertake what we believe is our purpose in
life could be what is stopping us from even thinking about taking the first
step. Those who do not have enough courage to step out often have a load of excuses why they do
not believe they have any purpose that is worth pursuing in life. There are people who do not want to hear
anything about dreams, vision and purpose, the more they hear such things, the
more discouraged they become. There are a lot of people with ideas that they are not prepared to do anything about and they become offended albeit envious of those courageous enough to do something about their dream. Why is this? For most people, especially in
Africa, what is in the front burner is basic survival; any talk about vision is
either foreign to them or very annoying. Understandably so, but is ignoring
the matter a solution to the problem? 
+Are we going to sit down and watch the
world go by and do nothing because we are angry? Is killing each other while
our human and natural resources are being plundered the way forward? When you
allow the person filling your cup to continue pouring and spilling liquid all
over you, it cannot be blamed on the person filling the cup. If the one who
needs the liquid and who is holding the cup does not say it is enough then it
is definitely their fault. Until you find your place and keep moving in the
direction of impact, you will continue to be voiceless. People who don’t know
what their contributions are and are not attempting to make an impact, will
continue to live by the principles and regulations put in place by those who
have found their purpose, who are pursuing it and therefore have a “loud voice”
You can stifle your voice by giving up and taking whatever is dealt to you or secretly and angrily envy those who have an active voice or
you can decide to pursue your dreams and make your voice heard and accepted. Do have a wonderful day! Let us continue these conversations on Facebook/justinakesagbosa, LinkedIn/justinakesagbosa, Instagram@Jpmy_Africa, Twitter@josephsplaceng
On entend souvent des gens dire "oh! J'y ai pensé avant" quand ils voient quelque chose que quelqu'un d'autre a fait. Souvent, ils donnent l'impression que ce n'est pas grande chose. Ce que la plupart des gens ne comprennent pas, c'est qu'il faut beaucoup de courage pour passer de la pensée à la pratique. Le courage d’entreprendre ce que nous croyons être notre raison d’être dans la vie pourrait nous empêcher même de penser à faire le premier pas. Ceux qui n’ont pas assez de courage pour sortir ont souvent des excuses pour ne pas croire qu’ils ont un objectif qui vaut la peine d’être poursuivi dans la vie. Il y a des gens qui ne veulent rien entendre des rêves, de la vision et d'objectif, plus ils entendent de telles choses, plus ils deviennent découragés. Il y a beaucoup de gens qui ont des idées sur lesquelles ils ne sont pas prêts à faire quelque chose et qui sont si outragés bien qu'ils soient envieux de ceux qui ont le courage de faire quelque chose à propos de leur rêve. Pourquoi est-ce? Pour la plupart des gens, en particulier en Afrique, la survie de base est au centre des préoccupations; toute discussion sur la vision leur est étrangère ou très agaçante. C'est compréhensible, mais ignorer la question est-il une solution au problème? Allons-nous nous asseoir et regarder le monde passer sans rien faire parce que nous sommes en colère? S'assassiner pendant le pillage de nos ressources humaines et naturelles? Lorsque vous permettez à la personne qui remplit votre tasse de continuer à verser jusqu'à renverser du liquide sur vous, vous ne pouvez en aucun cas en vouloir à la personne qui remplit la tasse. Si celui qui a besoin du liquide et qui tient la tasse ne dit pas que c'est assez, c'est bien de leur faute. Jusqu'à ce que vous trouviez votre place et continuiez d'avancer dans la direction de l'impact, vous continuerez à être sans voix. Les gens qui ne savent pas quelles sont leurs contributions et qui ne cherchent pas à avoir un impact, continueront de respecter les principes et les régles mis en place par ceux qui ont trouvé leur objectif, qui le poursuivent et ont donc une voix forte. «Vous pouvez étouffer votre voix en abandonnant et en prenant tout ce qui vous est confié ou envier secrètement et furieusement ceux qui ont une voix active ou vous pouvez décider de poursuivre vos rêves et de faire entendre votre voix et trouver l'acceptation. Passez une journée merveilleuse! Continuons ces conversations sur Facebook / justinakesagbosa, LinkedIn / justinakesagbosa, Instagram @ Jpmy_Africa, Twitter @ josephsplaceng
