Thursday, 9 July 2020

THE AFRICAN AT HOME OR ABROAD. - L'AFRICAIN À LA MAISON OU À L'ÉTRANGER.


"Why does the African succeed alone outside his home, while Africans fail together at home" - Mathias Mondo
If you put crabs in a basket and leave them overnight, almost all of them will be there by the next morning because anyone that attempts to climb out will be dragged down by the others. On the contrary, if you do the same thing with snails, even as slow as they move, the basket will almost be empty by the next morning. This crab mentality is prevalent where there is poverty and everyone is trying to survive, not only in Africa. It is an environment that breeds suspicion, superstition and envy. If you check out the ancient history of Africans, they were warriors who had structure and respected those who conquered lands and accomplished much. Communities were well organised and progressive, poverty as we know it today was rare. People were respected and comfortable in their communities, hard work was what distinguished people. We now live communities were poverty and laziness are prevalent, where people want to make money without working for it. They want to have luxurious lives by any means and most times, they end up as criminals and gangsters. In any society where people are mentally lazy, you cannot rule out crime, suspicion and superstition. When you separate yourself from that community, mentally or physically, you begin to function optimally. It is easier when you separate yourself physically, that is why it seems as if Africans prosper the most when they are living outside the continent. Unfortunately, it still looks like even most of those who are succeeding outside are still trapped in a frosted mentality. It is as if they are in constant battle to prove that Africans are also humans with potentials. Probably, this perception takes precedence over just being who they are and enjoying the pursuit of their dreams like every other human being. Life becomes a constant struggle to prove a point and be accepted for who they really are. At home, it is a double struggle of beating the development odds and the constant push back from the opposition of those who see those moving forward as a serious threat.  Until we can build a cohesive community of people, right from the grassroots, who can think and understand that they can build a life for themselves, Africans will continue to be beggars. There is nothing we beg for that is outside our reach as a continent if we can put our act together and build communities that encourage people who want to break barriers and achieve what is unimaginable for most. Africa needs to free herself from competing with herself so she can compete with the rest of the world where the battle is really fierce and where winning is a huge deal for any continent that aims to earn some respect. Do have a great day!


"Pourquoi l'Africain réussit seul l'étranger, alors que les Africains échouent ensemble chez eux" - Mathias Mondo

Si vous mettez des crabes dans un panier et que vous les laissez pendant la nuit, presque tous seront là le lendemain matin car quiconque tentera de sortir sera traîné par les autres. Au contraire, si vous faites la même chose avec des escargots, même aussi lents qu'ils se déplacent, le panier sera presque vide le lendemain matin. Cette mentalité de crabe est répandue là où il y a de la pauvreté et tout le monde essaie de survivre, pas seulement en Afrique. C'est un environnement qui engendre la suspicion, la superstition et l'envie. Si vous regardez l'histoire ancienne des Africains, ils étaient des guerriers qui avaient une structure et respectaient ceux qui ont conquis des terres et accompli beaucoup. Les communautés étaient bien organisées et progressistes, la pauvreté telle que nous la connaissons aujourd'hui était rare. Les gens étaient respectés et à l'aise dans leurs communautés, le travail acharné était ce qui distinguait les gens. Nous vivons maintenant dans des communautés où la pauvreté et la paresse dominent, où les gens veulent gagner de l'argent sans y travailler. Ils veulent avoir une vie luxueuse par tous les moyens et la plupart du temps, ils se retrouvent comme des criminels et des gangsters. Dans toute société où les gens sont mentalement paresseux, vous ne pouvez pas exclure le crime, la suspicion et la superstition. Lorsque vous vous séparez de cette communauté, mentalement ou physiquement, vous commencez à fonctionner de manière optimale. C'est plus facile lorsque vous vous séparez physiquement, c'est pourquoi il semble que les Africains prospèrent le plus lorsqu'ils vivent en dehors du continent. Malheureusement, il semble que même la plupart de ceux qui réussissent à l'extérieur sont toujours pris au piège dans une mentalité givrée. C'est comme s'ils se battaient constamment pour prouver que les Africains sont aussi des humains avec des potentiels. Probablement, cette perception prime sur le simple fait d'être qui ils sont et d'apprécier la poursuite de leurs rêves comme tout autre être humain. La vie devient une lutte constante pour prouver un point et pour qu'on les accepte pour qui ils sont vraiment. À la maison, c'est une double lutte pour vaincre les chances de développement et le recul constant de l'opposition de ceux qui voient ceux qui avancent comme une menace sérieuse. Tant que nous ne pourrons pas bâtir une communauté cohérente de gens, dès la base, qui pourront penser et comprendre qu’elles peuvent se construire une vie, les Africains continueront d’être des mendiants. Il n'y a rien que nous demandons qui soit hors de notre portée en tant que continent si nous pouvons rassembler nos actes et bâtir des communautés qui encouragent les gens qui veulent briser les barrières et réaliser ce qui est inimaginable pour la plupart. L'Afrique doit se libérer de la concurrence avec elle-même afin de pouvoir rivaliser avec le reste du monde où la bataille est vraiment féroce et où gagner est une affaire énorme pour tout continent qui vise à gagner un peu de respect. Passez une bonne journée!




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