We as Africans are still very communal and still have a lot
of respect for our family ties which
translate in our being unduly emotional. This results in many of us making
most decisions based on our emotions. However, as we discussed in the preceding
post, we cannot afford to allow our emotions hold sway when we are faced with
turbulent times and we have to make critical decisions. We live in societies
where we are expected to employ our relatives, whether they are qualified or
not, where our elders still expect to be consulted before major decisions are
made or they feel slighted. It is expected that we have to put the good of the
community or family before that of our endeavors forgetting that if the
business goes down, it will seriously affect their own well-being. We must reach
a point in our journey where we decide based on the big picture and what is
best for the greater good of humanity rather than on how we can pay our dues
just to those who have helped us in one way or the other to accomplish what we
have. We can even see this kind of unhealthy influence in all aspects of
leadership in the continent. Our dreams should benefit our families, our immediate communities and the
human race at large and to achieve this we have to stick to time tested
principles and not emotional affiliations.
Nous, les Africains sont encore très communautaire et nous avons encore beaucoup de respect pour nos liens familiaux qui se traduisent dans une habitude trop émotive; cela se voit dans la manière dont beaucoup d'entre nous prend nos décisions basées sur nos émotions. Cependant, comme nous avons dit dans le post précédent, nous ne pouvons pas nous permettre de laisser nos émotions dominer quand nous sommes confrontés par des moments turbulents et nous devons prendre des décisions cruciales. Nous vivons dans des sociétés où il est prévu que nous embauchons nos parents, qu'ils soient qualifiés ou non, où nos aînés attendent toujours d'être consultés avant que des décisions sont prises si non ils se sentent méprisé. Il est prévu que nous devons permettre au bien de la communauté ou de la famille de précéder nos tentative oubliant que si l'entreprise fait faillite, il va sérieusement affecter leur propre bien-être. Nous devons parvenir à un point de notre voyage où nous prenons des décisions en fonction de la grande image et ce qui est le mieux pour le plus grand bien de l'humanité plutôt que sur la façon dont nous pouvons payer seulement nos redevances à ceux qui nous ont aidés d'une manière ou l'autre à accomplir. Nous pouvons même voir ce genre d'influence malsaine dans tous les aspects du leadership dans le continent. Nos rêves doivent bénéficier nos familles, nos communautés immédiates et la race humaine en général et pour ce faire nous devons respecter les principes éprouvés et pas des affiliations émotionnels.
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