Engaging citizens is something that most people agree would
help develop better societies through social accountability. Even from ancient African
societies, members of communities came together to discuss and make decisions
about matters of welfare in the communities; family and clan heads met to
look at issues that affect the community. These were not democracies but input
from group heads were considered by community leaders when making important
decisions that affect the community. Good governance would generally have two
dimensions; the demand side and the supply side. Citizens have expectations of
what they need in order to have the kind of society they want where they have an
enabling environment to live a fulfilled life. These demands are expected to be
supplied by their leaders who have the authority to take decisions on their
behalf. Against this backdrop, in modern societies where most of the leaders
are elected representatives, the citizens have the right to demand
accountability from their representatives in order to make sure that their
demands are met. However, we discover that because of the levels of corruption
in most African societies, accountability is almost nonexistence and any
attempt to demand it is met by stiff opposition and some cases, it can be life
threatening. Consequently, most African citizens are not interested in issues
about good governance, all they want is just get by with their everyday lives. Be
that as it may, due to constant education about the rights of citizens to be
involved in governance, civil society groups are springing up all over the
continent and citizen engagement is beginning to make inroads one little step
at a time.
La plupart des gens sont d'accord que la participation des citoyens aiderait à développer de meilleures sociétés par le biais de la responsabilité sociale. Même dans des anciennes sociétés africaines, les membres des communautés se sont réunis pour discuter et prendre des décisions sur les questions de bien-être des communautés; les chefs de famille et de clans se réunissent des pour considerer les questions qui touchent la communauté. Ce n'étaient pas des démocraties, mais l'entrée des chefs de groupe ont été considérées par les dirigeants de la communauté lors de la prise des décisions importantes qui affectent la communauté. La bonne gouvernance aurait généralement deux dimensions; du côté de la demande et de l'offre. Les citoyens ont des attentes de ce dont ils ont besoin afin d'avoir le genre de société qu'ils veulent où ils ont un environnement permettant de vivre une vie bien remplie. On attend que ces exigences doivent être fourni par leurs dirigeants qui ont le pouvoir de prendre des décisions en leur nom. Dans ce contexte, dans les sociétés modernes où la plupart des dirigeants sont des représentants élus, les citoyens ont le droit de demander des comptes à leurs représentants afin de veiller à ce que leurs demandes soient satisfaites. Cependant, nous découvrons que, a cause des niveaux de corruption dans la plupart des sociétés africaines, la responsabilité est presque inexistence et toute tentative de demande, est accueilli par une vive opposition et dans certains cas, il peut être la vie en danger. Par conséquent, la plupart des citoyens africains ne sont pas intéressés par les questions de bonne gouvernance, tout ce qu'ils veulent c'est de vivre tout simplement leur vie quotidienne. Quoi qu'il en soit, en raison de l'éducation constante sur les droits des citoyens de participer à la gouvernance, les groupes de la société civile ont surgit un peu partout sur le continent et l'engagement citoyen commence à faire des incursions une petite étape à la fois.