Tuesday, 19 May 2015

WE THE CITIZENS...ENGAGING CITIZENS - NOUS LES CITOYENS...ENGAGER LES CITOYENS

In April I finished a one month Massive Open Online Course floated by the World Bank on Citizens Engagement which tried to answer the question “Is it a game changer? I would like to share some thoughts from that training. It was clear that with the participation of citizens, governance would function better. Like I always tell the youths I work with, those in government were once citizens and I believe that we cannot produce good leadership from bad citizens. One of the major points that was raised in that training was the fact that we need to have social accountability. From my personal interaction with a few African youths, most of them do not believe that social accountability can work in this continent because of the high levels of corruption. Trying to make them see that with determination and education corruption can be reduced like it has been done in other parts of the world, is like thinking the impossible. What makes this a hard sell is the degree of mistrust in these societies which makes people to look at those even with the best intention like they were frauds. This is also fueled by the fact that some civil society groups who should be helping with social accountability have been compromised. There are those who have come into advocacy because they could not get another job or who are looking for avenues for cheap popularity to help them get noticed by those in the corridors of power. This is very unfortunate because like we were made to understand, civil society groups act as bridge between the leaders and the citizens. For us to have good citizen participation, Citizens have to be educated and driven by people who have a passion for good governance and better societies.



En Avril, je fini un Cours sur l'Internet lancée par la Banque mondiale pour un mois sur l'Engagement des Citoyens qui a essayé de répondre à la question «Est-ce un changeur de jeu? Je voudrais partager quelques réflexions de cette formation. Il était clair qu'avec la participation des citoyens, la gouvernance fonctionnerait mieux. Comme je dis toujours aux jeunes avec qui je travaille, les membres du gouvernement ont été une fois des citoyens et je crois que nous ne pouvons pas produire un bon leadership à partie des mauvais citoyens. Un des principaux points qui ont été soulevées au cours de cette formation est le fait que nous avons besoin de la responsabilité sociale. De mon interaction personnelle avec quelques jeunes Africains, la plupart d'entre eux ne croient pas que la responsabilité sociale peut fonctionner dans ce continent en raison des niveaux élevés de corruption. Essayer de leur faire voir qu'avec de la détermination et de l'éducation la corruption peut être réduite, comme cela a été fait dans d'autres parties du monde, est comme penser l'impossible. Ce qui rend cette idée difficile à vendre est le degré de méfiance dans ces sociétés qui pousse les gens à considerer ceux qui, même avec la meilleure intention comme ils étaient fraudes. Ceci est également alimentée par le fait que certains groupes de la société civile qui devrait aider à la responsabilisation sociale ont été compromises. Il ya ceux qui sont entrés dans le plaidoyer parce qu'ils n'ont pas pu obtenir un autre emploi ou qui sont à la recherche de pistes de popularité pas cher pour les aider à se faire remarquer par ceux dans les couloirs du pouvoir. Ceci est très regrettable parce que la formation nous a faits comprendre que les groupes de la société civile agissent comme des ponts entre les dirigeants et les citoyens. Pour que nous ayons une bonne participation des citoyens, les citoyens doivent être éduqués et entraînés par des gens qui ont une passion pour la bonne gouvernance et les meilleures sociétés.

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