Tuesday, 30 January 2018

I SHUDDER... - JE FRISSONNE...

The other day I was talking to someone I had not seen in a very long time and we were catching up on life. When I told him I was now working with youths, helping them to recognise their role in nation building and what they can bring to the table, it started a discussion on the state of the nation. This is always an exasperating discussion and this time around, it was no different. At a point, he used a phrase that is also popular in such discussions, "I shudder at what the future holds..." I told him that we are to do more than shudder, because if we all stay at that point and shake our heads, it will not improve the situation. We need, especially as africans, to look beyond our disheartening projections of the future to what contributions we can individually make to alter it. No one can make a difference staring at and enlarging the frame of the challenges, you need to change the frame and focus on something you can do to change the course of the flow. What is the use of an anti-corruption summit when the ecosystem fosters the disease? When we value and build the individuals who build and run the systems and the institutions, the viral count will begin to reduce. Until citizens see themselves as valuable and valued, they will continue to sabotage every anti-corruption effort of government. Human beings will care for what cares for them, until people see an environment that can secure their lives and development, they will not put in their best to develop it. We need to stop talking and start acting, our actions are too loud for people to hear what we are saying. Stop waiting for the government or others to do something before you do what are capable of doing to change and improve a situation.


L'autre jour, je parlais avec quelqu'un que je n'avais pas vu depuis très longtemps et nous rattrapions la vie. Quand je lui ai dit que je travaillais maintenant avec des jeunes, en les aidant à reconnaître leur rôle dans la construction de la nation et ce qu'ils peuvent apporter à la table, cela a commencé une discussion sur l'état de la nation. C'est toujours une discussion exaspérante et cette fois-ci, ce n'était pas différent. À un moment donné, il a utilisé une phrase qui est aussi populaire dans de telles discussions: «Ce que l'avenir nous réserve me fait fremir ...» Je lui ai dit que nous devions faire plus que frémir, parce que si nous restons tous à ce point en secouant nos têtes, cela n'améliorera pas la situation. Nous avons besoin, surtout en tant qu'Africains, de regarder au-delà de nos projections décourageantes de l'avenir à ce que nous pouvons faire individuellement pour le modifier. Personne ne peut faire la différence en se fixant sur et en élargissant le cadre des défis, vous devez changer le cadre et vous concentrer sur quelque chose que vous pouvez faire pour changer le cours du courant. A quoi sert un sommet anti-corruption lorsque l'écosystème favorise la maladie? Lorsque nous valorisons et nous formons les individus qui établissent et gèrent les systèmes et les institutions, le nombre du virus commencera à diminuer. Jusqu'à ce que les citoyens se voient commet précieux et valorisés, ils continueront de saboter tout effort anti-corruption du gouvernement. Les êtres humains prendront soin de ce qui les concerne, jusqu'à ce que les gens voient un environnement qui peut assurer leur vie et leur développement, ils ne feront pas de leur mieux pour le développer. Nous devons cesser de parler et commencer à agir, nos actions sont trop bruyantes pour que les gens entendent ce que nous disons. Cessez d'attendre que le gouvernement ou les autres fassent quelque chose avant de faire ce que vous pouvez faire pour changer et améliorer une situation.

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