Listening to discussions on challenges in the society, one always hear statements starting with "they should', "they should not", we very seldom hear "I should", "I should not". Almost everyone of us removes ourselves from the equation, it is always about what someone did or did not do. It is never about us even if we are involved in what we are criticising on a small scale. Maybe if we should just begin our thinking with "I should" or "I should not", we will make a lot of difference in being a part of the change. What you are doing might be having an effect on just a few right now but you never know what ripple effects that small seed will begin to produce over time. It is this habit of taking ourselves out of the equation that removes our focus from the answer to focusing on who should be responsible from fixing things. Let us take the common menace in Africa for example; refuse disposal. Many of us complain about the failure of government in this regards and we have every right to do so. However, have we as individuals thought of how we could collaborate with "willing" neighbours because not everyone is willing, to see what we can do to minimise that problem in our neighbourhood? Always beginning with "they should" or "they should not" is what everybody does but beginning with "I should" or "I should not" makes you a part of solution, a part of the equation. This does not make it easy but it gives you a sense of responsibility and fulfilment. The problem is most of talk ourselves out of it before we even begin.
Photo Source : Google+/Oli a |
Écouter les discussions sur les défis dans la société, on entend toujours des déclarations commençant par «ils devraient», «ils ne devraient pas», nous entendons très rarement «je devrais», «je ne devrais pas». Presque chacun d'entre nous se retire de l'équation , c'est toujours ce que quelqu'un a fait ou n'a pas fait. Il ne s'agit jamais de nous, même si nous sommes impliqués dans ce que nous critiquons à petite échelle. Peut-être que si nous devrions simplement commencer notre réflexion avec "Je devrais" ou "je ne devrais pas", nous ferons beaucoup de différence en faisant partie du changement. Ce que vous faites, cela pourrait avoir un effet sur quelques-uns maintenant, mais vous ne savez jamais quels effets d'entraînement les petites graines commenceront à produire au fil du temps. C'est l'habitude de nous éloigner de l'équation qui déplace notre attention de la réponse pour nous concentrer sur qui devrait être responsable de régler les choses. Prenons la menace commune en Afrique, par exemple, gérer les déchets. Beaucoup d'entre nous se plaignent de l'échec du gouvernement dans ce domaine et nous avons tout le droit de porter ce plainte. Cependant, avons-nous pensé à la façon dont nous pourrions collaborer avec les voisins «disposés» parce que tout le monde n'est pas disposé; à voir ce que nous pouvons faire pour minimiser ce problème dans notre quartier? Commencer toujours par "ils devraient" ou "ils ne devraient pas" c'est ce que fait tout le monde mais commencer par "Je devrais" ou "Je ne devrais pas" vous fait une partie de la solution, une partie de l'équation. Cela ne facilite pas la tâche, mais cela vous donne un sentiment de responsabilité et d'accomplissement. Le problème c'est que nous essayons de nous dissuader avant même de commencer.
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