Wednesday, 3 May 2017

PRESSURE AND CULTURE - LA PRESSION ET LA CULTURE

How do we react to pressure from cultural differences that make us struggle with our identity? The world has shrunk due to increased information exchange especially with the introduction of social media. Like everything in life, it is always about the survival of the fittest. The strong will always prey on the weak. What is interesting is that strength does not come from numbers or physical strength, it comes from mental strength. It depends on your ability to hold onto what is core to you and impose that on those who are too weak to hold their end of the bargain. Africans are a true testament to this reality, immediately they could be convinced that their culture was barbaric, they believed and are still believing that lie till today. We are now the advocates of our backwardness and and lack of everything that is good. We do not need anyone to tell us anymore, we are passing this knowledge from generation to generation and we wonder why they do not want anything to do with the continent. With the present day reality, no culture can be purely original but our case is different. We even have to have days set aside to wear "African couture" as if we are pathetic race trying to placate our cultural consciences. There has to be a reason for us to  remember that we are Africans, there even has to be a campaign for us to wear our natural hair. What is sad is that when we do these things, we feel like heroes. The ordinary has become a sacrifice for most of us and we wonder why we are looked at as an inferior race? To us, acceptance by the international community means we have to change everything about us. Looking back in history, Africans were not lawless but now we are an epitome of lawlessness and backwardness. The youths are so confused they do not know which way to go; they are not foreigners and they do not know what being an African is except wearing a certain fabric, eating a certain dish or having a certain name... For once I cannot even conclude...
Photo Source : Google+/Oli a


Comment réagissons-nous à la pression exercée par des différences culturelles qui nous amènent à lutter contre notre identité? Le monde s'est rétréci en raison d'un échange d'informations accru surtout avec l'introduction des médias sociaux. Comme tout dans la vie, c'est toujours la survie du plus fort. Le fort sera toujours en proie des faibles. Ce qui est intéressant, c'est que la force ne provient pas des nombres ou de la force physique, elle provient de la force mentale. Cela dépend de votre capacité à tenir compte de ce qui est essentiel pour vous et à l'imposer à ceux qui sont trop faibles pour défendre le leur. Les Africains sont un véritable témoignage de cette réalité; au moment qu'on les a convaincus que leur culture était barbare, ils croyaient et croient en ce mensonge jusqu'à aujourd'hui. Nous sommes maintenant partisans de notre retard et de notre manque de tout ce qui est bon. Nous n'avons plus besoin que qeulqu'un nous le dire, nous transmettons ces connaissances de génération en génération et nous nous demandons pourquoi ils ne veulent rien à faire avec le continent. Avec la réalité actuelle, aucune culture ne peut être purement originale, mais notre cas est différent. Nous devons même avoir des jours mis de côté pour porter la «couture africaine» comme si nous étions une race pathétique essayant d'apaiser nos consciences culturelles. Il doit y avoir une raison pour que nous nous souvenions que nous sommes africains, il faut même faire campagne pour que nous amions nos cheveux naturels. Ce qui est triste, c'est que lorsque nous faisons ces choses, nous nous sentons comme des héros. L'ordinaire est devenu un sacrifice pour la plupart d'entre nous et nous nous demandons pourquoi nous sommes considérés comme une race inférieure? Pour nous, l'acceptation par la communauté internationale signifie que nous devons tout changer. Jetons un coup d'oeil dans notre histoire, les Africains n'étaient pas sans loi, mais maintenant, nous sommes un exemple d'anarchie et de retard. Les jeunes sont si confus qu'ils ne savent pas à quel point aller; Ils ne sont pas des étrangers et ils ne savent pas ce qu'est un africain, sauf de porter un certain tissu, manger un certain plat ou avoir un certain nom ... Pour une fois, je ne peux même pas conclure ...

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