I posted a picture I got from Facebook yesterday on my Google+ page and the reactions I got helped me measure, in some way, the feeling of frustration of the African youth. Just like those I have personally interacted with, many are angry at their various governments; they feel let down. A lot want to do something about the situation but cannot see anyway they can do this. In this situation some think that nothing but aggression would solve the problem since most governments are oblivious of their pain. Matters of unemployment are treated with levity, basic necessities of life like light and water that can make life a little more bearable as they navigate these rough paths of life are almost non existent. Against this backdrop, all they want to do is vent their anger on leaders who have failed them. Most feel that dialogue is not the answer since leaders are not listening. Be that as it may, we have seen in recent times that uprisings have not really given the desired results. Where do we go from here? This is quite a difficult question to answer, the greatest tragedy of all has been the massive brain drain from Africa. Has this solved the problem? I don't think so. We need to sit down and look at other ways of tackling this problem if violence or escape cannot do it, there must be something else that can be done. Why don't we look at the option of coming together with those of like minds and talking about what measures can be put in place to solve these issues from our very backyards and start developing those strategies so that when the opportunity comes for us to make a difference we will be ready? Thankfully, I think I have seen signs of this happening. With the level of anger and frustration many of us are exhibiting, we cannot be in the frame of mind to think of any kind of solutions. It is time to make up our minds to allow our pain to bring out the best in us rather than allow it to turn us into monsters that would only make things worse.
J'ai posté une
photo que j'ai pris de Facebook hier sur ma page Google+ et les réactions que j'ai eu m'a aidé à mesurer, d'une certaine façon, le sentiment de frustration de la jeunesse africaine. Tout comme ceux que je rencontre personnellement, beaucoup sont en colère contre leurs gouvernements différents; ils se sentent abandonnés. Beaucoup veut faire quelque chose à propos de la situation, mais ne peut pas voir de quelle façon ils peuvent le faire. Dans cette situation, certains pensent que rien que l'agression résoudrait le problème puisque la plupart des gouvernements ne sont pas conscients de leur douleur. Questions de chômage sont traités avec légèreté, les nécessités de base de la vie comme l'énergie et l'eau qui peuvent rendre la vie un peu plus supportable alors qu'ils naviguent ces rudes sentiers de la vie sont presque inexistants. Dans ce contexte, tout ce qu'ils veulent faire c'est exprimer leur colère envers les dirigeants qui les ont déçu. La plupart pensent que le dialogue n'est pas la réponse puisque les dirigeants ne leur fait pas attention. Quoi qu'il en soit, nous avons vu au cours des dernières temps où des manifestations n'ont pas vraiment donné les résultats souhaités. Où allons-nous d'ici? Ceci est une question très difficile à répondre, la plus grande tragédie de tous c'est l'exode massive des professionnels de l'Afrique. Cela a-t-il résolu le problème? Je ne le pense pas. Nous devons nous asseoir et examiner d'autres façons d'aborder ce problème si la violence ou de l'évasion ne peut pas le faire, il doit y avoir quelque chose d'autre qui peut être fait. Pourquoi n'exploitons-nous pas la possibilité de se réunir avec ceux de mêmes perspectives et discuter des mesures que nous pouvons mettre sur place pour résoudre ces problèmes à partir même de nos arrière-cours et commencer à développer ces stratégies de sorte que lorsque l'occasion se présente pour nous de faire une différence nous serions prêts? Heureusement, je crois avoir vu des signes que cela se produise. Avec le niveau d'amertume et de frustration dont nous nous exposons, nous ne pouvons pas être dans l'état d'esprit de penser aux solutions quoique soit. C'est le moment de decider de permettre à notre douleur de faire ressortir le meilleur en nous plutôt que de lui permettre de nous transformer en monstres qui ne ferait qu'empirer les choses.
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