The
AFRICAN-TIME Disease - Damilola Akinbola -damikay24@yahoo.com
Many
Africans wonder why we aren't progressing, as efficient and productive as we are, like the
more developed nations. Recent studies (well not too 'recent' for that matter)
show the existence of strong positive correlation between the productive
capacity of a people and their efficient usage of time.
Time,
of all invaluable resources, is the most sacred for it is the definer of the
essences of all things. Though inherently infinite by nature, the finiteness of
all elements of nature is measured by it. Those who understand the importance
of time maximize its optimal usage.
All
these might be common knowledge, it is however perplexing to consider the
disease of time wastage peculiar to Africans to the extent we've coined out a disapproving
cliche for ourselves - African-time.
We
take the sacredness of time for levity with our infamous lackadaisical attitude to punctuality. Though it
seems trivial to the average African, but our low productivity, stress and general
lack of fulfillment associated with time wastage beg to differ.
Deep
analysis isn't relevant on this issue for we all know that this is more of an
attitudinal shortcoming than it is of unavailability of sufficient time; world
over (geographical differences notwithstanding) each day is defined by same
number of hours, minutes and seconds. This is therefore an issue of misplaced
value and priority than of any peculiar nature-induced geographical
disadvantage or anomaly that Africans can claim to be encumbered with.
Indiscriminate
usage of the time resource is on par with other monstrous problems like
corruption, greed, infrastructural deterioration, power epilepsy and economic
downturn that have limited Africa for ages.
Time
is sacred for by it our finite lives are measured and the waste of time is
equivalent to life wastage.
The infamous AFRICAN-TIME Disease is curable and the cure lies in
setting our priorities straight, understanding fully that the disparity between
development and underdevelopment, between
a life well lived and that encumbered with the guilt of waste lie invariably in
a people's attitude to time and its intentional maximization.
Death
to African-Time disease!
#Victor
Akins
#PROFOUND
eXPressionS
La maladie de L'HEURE AFRICAINE par Damilola Akinbola - damikay24@yahoo.com
Beaucoup d'Africains se demandent pourquoi nous ne progressons pas, aussi efficaces et productifs que nous sommes, commes des pays plus développés. Des études récentes (enfin pas trop "récentes" d'ailleurs) montrent l'existence d'une forte corrélation positive entre la capacité de production d'un peuple et son utilisation efficace du temps.
Le temps, de toutes les ressources inestimables, est le plus sacré, car il définit les essences de toutes choses. Bien que intrinsèquement infinie par nature, la finitude de tous les éléments de la nature est mesurée par elle. Ceux qui comprennent l’importance du temps optimisent son utilisation optimale.
Tout cela pourrait être de notoriété publique, mais il est toutefois difficile de considérer la maladie du gaspillage du temps propre aux Africains dans la mesure où nous avons forgé un cliché désapprobateur pour nous-mêmes - l'heure africaine.
Nous prenons le caractère sacré du temps à la légère avec notre infâme attitude de nonchalance envers la ponctualité. Bien que cela semble trivial pour l’Africain moyen, notre faible productivité, notre stress et notre manque général de satisfaction associé au gaspillage de temps nous amènent à différer.
Une analyse en profondeur n’est pas pertinente sur cette question car nous savons tous qu’il s’agit plus d’un défaut d’attitude que de l’absence de temps suffisant; Dans le monde entier (malgré les différences géographiques), chaque jour est défini par le même nombre d’heures, de minutes et de secondes. Il s’agit donc d’une question de valeur et de priorité déplacées par rapport à tout désavantage géographique ou toute anomalie géographique, que les Africains peuvent prétendre les encombrent.
L'utilisation sans discernement des ressources de temps est comparable à d'autres problèmes monstrueux tels que la corruption, la cupidité, la détérioration des infrastructures, l'épilepsie électrique et le ralentissement économique qui limitent l'Afrique depuis des siècles.
Le temps est sacré, car c'est la mesure de nos vies finies et la perte de temps équivaut au gaspillage de la vie.
L'infâme maladie de L'HEURE AFRICAINE est curable et le remède consiste à fixer nos priorités, sachant bien que la disparité entre développement et sous-développement, entre une vie bien vécue et celle où règne la culpabilité du gaspillage réside invariablement dans l'attitude du peuple à l'égard du temps et sa maximisation intentionnelle.
Mort à la maladie de l'heure africaine!
#Victor Akins
#PROFOUND eXPressionS
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